Collection Escortboy. Comment J’Ai Débuté ? Saison I (1/3)

• Bonjour jeune homme vous a déjà-t-on dit que vous étiez bel homme !

C’est comme cela que tout a commencé.
J’étais entré dans un bar d’une rue parisienne adjacente aux Champs Élysées, car à l’extérieur la chaleur de cette fin d’après-midi était étouffante.
La personne qui m’interpelle est une femme magnifique, blonde avec une poitrine qui si elle est naturelle est exceptionnelle.

• Je vois que vous buvez une orangeade, puis-je vous offrir un whisky !
• Merci madame l’alcool et moi cela fait deux, vous voyez, je bois une orangeade.
• C’est bien, les hommes qui boivent de l’alcool manquent souvent de moyen au lit.
Je suis à l’hôtel à côté d’ici, j’aimerais passer un moment avec vous !
• Je suis fiancé, comment Maryse le prendrait elle, si je la trompais, fusse avec une femme aussi jolie que vous.
• C’est bien d’être fidèle, je suis de passage à Paris.
Moi aussi, regardez, je suis mariée et jusqu’à ce jour fidèle.
Mais vous me plaisez tellement que je suis prête à vous donner 500 € pour passer un moment avec vous.
• 500 €, j’ignorais que des femmes étaient prêtes à payer pour coucher avec un garçon surtout une aussi belle femme que vous.
• 500 pour une heure, 2 000 pour la nuit ?
• Vous êtes folle, regardez autour de vous, il y a plusieurs beaux garçons.
Je suis sûr qu’ils vous suivront avec entrain, si vous leur demandez.

En disant ces mots à cette jolie femme, je me traite d’idiot.
J’ai plus d’une heure de libre avant mon rendez-vous pour une place de livreur dans une boutique à quelques mètres d’ici.
500 €, alors que je galère pour trouver un job me laissant assez de temps pour travailler mes études de droit à la Sorbonne.
En plus, il y a ma fidélité à Maryse.
Mais suis-je vraiment fidèle quand je me souviens de l’enterrement de la vie de garçon de mon pote Damien.
La petite blonde ayant accepté de venir dans ma voiture a été bien loin de me donner autant d’argent pour un petit coup très rapide, mais assez agréable.



• Après réflexion, j’accepte, mais l’argent en liquide, je refuse les chèques.

En disant cela je ponctue ma phrase ambiguë par un éclat de rire.

• Je vois que vous avez de l’humour cela me plaît, regardez dans mon sac discrètement, voyez la liasse de billets que j’ai à ma disposition pour vous payer.

Elle ouvre son petit sac à main que les femmes appellent étrangement des baises en ville.
Je découvre bien ranger de quoi payer les 2 000 € qu’elle m’a proposés pour la nuit.

• Vous prenez des risques de vous promener avec autant d’argent liquide, vous risquez de vous faire attaquer !
• Venez m’attaquer, je suis ceinture noire de karaté.
• Cela dissuade, je suis ceinture noire de judo, j’ai failli entrer dans l’équipe de France, mais une blessure récurrente m’en a empêché.
• Comment t’appelles-tu ?
• Bruno madame.
• Alors Bruno on y va, je vous payerais dans ma chambre.

C’est en suivant Claude, c’est du moins le nom qu’elle me donne que j’entre pour la première fois dans le milieu des escortes boys.
Arrivée dans la chambre d’un hôtel de haut luxe voisin, elle ouvre son sac.

• Une heure ou une nuit ?
• Une heure, j’ai un rendez-vous pour un travail, en plus de mes études de droit à la Sorbonne.
• Vous êtes en quelle année ?
• Première, j’ai passé mon bac cette année avec mention très bien.
• Une tête bien faîte dans un corps bien fait, si vous me suivez, mais on verra cela tout à l’heure, vous aurez beaucoup de succès.

En me disant cette phrase, j’ai du mal à comprendre, elle me pose la main sur l’un de mes pectoraux frémissant à son contact.

• Ouahou, tu arrives à les faire bouger, j’adore, voici l’argent.

Elle prend 3 billets de 200 dans la liasse que je glisse dans ma poche de jean.

• Garde les 100 supplémentaires, c’est pour faire marcher tes pectoraux.

Étranges depuis mon adolescence, mes poches presque vides sont maintenant pleines.

Il est vrai que si je cherche un petit travail, c’est pour soulager mes parents petit épicier du centre de la France dont les Parisiens disent souvent que c’est le trou du cul du monde.

• À toi de jouer, je t’ai payé fait de moi une femme comblée.
• Je vais essayer, j’espère y arriver.
• Tu es dépucelé, rassure-moi, baises-tu avec Maryse ?
• Oui, l’an passé pour mes dix-huit ans, la voisine m’a invité chez-elle et m'a littéralement sauté dessus.
Je me suis retrouvé au fond de sa chatte.
• Elle était belle !
• Non, grosse et moche, mais j’avais tellement envie de plonger mon sexe dans le sexe d’une femme que j’ai fermé les yeux et je l’ai pénétré.
Elle était en peignoir, nue au-dessous, ses bourrelets déformaient son vêtement, mais je m’en fichais, je pénétrais une chatte.
• Comment t’es-tu retrouvé chez elle dans cette situation ?
• Elle a appelé maman qui était à la boutique et lui a dit qu’elle m’avait acheté un petit cadeau pour mes dix-huit ans et qu’elle m’attendait.
Pour enfoncer le clou, elle avait besoin de déplacer un meuble.
Maman aurait dû se méfier, car elle avait des bras comme des poteaux et avait assez de force pour le faire toute seule.
• Était-elle célibataire ?
• Non mariée à un gars fort comme un turc.
Je venais de finir de la sauter et de décharger quand nous avons entendu la porte de l’appartement s’ouvrir.
Je me suis relevé, j’ai eu le temps de remettre mon jean et elle son peignoir.
Il m’a vu et est venu me serrer la main qui venait de caresser le corps de sa femme me félicitant pour mes dix-huit ans, ce qui faisait de moi un homme à ce qu’il a dit.
J’avais envie de lui dire que grâce à sa femme, je l’étais réellement devenu.
• Y es-tu retourné ?
• Non, c’est lui qui a fait le ménage et a trouvé sa petite culotte sous le canapé que je lui avais enlevé et qu’elle avait oublié de ramasser.
Il a cru que c’était un autre voisin, car il avait des doutes.

Il est allé lui casser la figure ainsi qu’à sa femme à laquelle il a arraché une partie de son cuir chevelu en la tirant jusqu’à sa porte par ses cheveux.
Condamné à trois mois de prison et quand il est sorti, ils ont déménagé.
• As-tu connu d’autre fille ?
• Maryse, trois mois plus tard, je l’ai dépucelée et depuis je croyais que je lui serais fidèle.

J’oublie l’épisode dans la voiture, pourquoi tout dire à cette femme la rêverais-je ?

• Et je t’ai proposé de venir ici et tu viens d’accepter mon argent.
Dis-moi avec Maryse ce que tu lui as fait et si c’est toi ou elle qui prend les initiatives.
• Je l’ai rencontré dans une soirée.
La première fois nous avons fait cela dans la camionnette de mon père entre les légumes qu’il avait été acheté chez son maraîcher.
Depuis nous faisons cela régulièrement quand je suis chez moi.
Mais il y a deux mois que je suis à Paris et vous êtes les seules que j’ai rencontrées.
• Tu as donc les couilles pleines, tu vas pouvoir me régaler.
Avais-tu dans l’idée de tromper ta copine ?
Elle prend la pilule ou a-t-elle un stérilet comme moi ?
• La pilule, je lui ai demandée.
J’ai un copain qui s’est fait piéger comme ça.
Il a deux rejetons qui nous sont inconnus, elle lui sert la vis, sa vie est foutue.
• Fais-moi voir ce que tu sais faire aux femmes, sexuellement parlant, il va de soi.

Je m’approche, lui détache son chignon qui lui donne l’air d’une maîtresse d’école.

• Je peux t’embrasser.
• On se dit tu maintenant, je suis la cliente.
J’ai tous les droits, en acceptant mon argent, tu es devenu ma chose, ma pute, tu me dois le respect, tu dois toujours me vouvoyer.
• Bien madame, nous sommes si proche que je croyais que je pouvais.
• Si je te le demande, tu le fais, tu peux, je te donne l’autorisation, le baiser aussi c’est bien de m’avoir demandé.

Il est étrange que cette femme mariée décidée de tromper son mari semble vouloir me former à satisfaire les femmes.

Mais comme j’attaque son chemisier après avoir dénoué ses cheveux tout en l’embrassant, je m’aperçois que j’ai une experte dans mes bras.
Maryse, la seule fille à qui j’ai roulé une galoche était loin d’avoir sa technique.
Avec celle dans la voiture, nous avons ignoré le temps des préliminaires, directement dans son sexe.
C’était une rapide.
J’apprends vite et ses seins que je peux empaumer semblent apprécier mes caresses.
Ses pointes se dressent fièrement au bout des pamplemousses qu’elle met à ma disposition.
Je continue mon travail, ayant compris le message, fric égal travail pour la satisfaire.
De son côté elle m’enlève mon tee-shirt et caresse mes pectoraux.
Je les fais bouger comme je lui ai fait voir tout à l’heure, sans le tissu, c’est plus impressionnant et ça justifie les 100 € supplémentaires.
Il faut dire qu’en plus de mes études, je me suis inscrit dans une salle de sport près de mon logement sous les toits.
Là-bas, je vais lever des tonnes de fonte un casque sur mes oreilles écoutant les enregistrements de droit pénal, m’instruisant.
Le canapé où je me suis fait dépuceler était à porter de main.
Avec Maryse, c’est toujours elle qui défait ses vêtements, car chaque fois il fallait aller vite pour éviter d’être surpris par nos parents.
Avec Claude il en est tout autre, car avec mes expériences précédentes, seul mon plaisir comptait, même si une fois avec ma fiancée, elle a eu un orgasme.

• Que voulez-vous faire, madame ou que je vous fasse, je suis à votre service ?
• C’est bien, tu vois, c’est facile, tu demandes et tu fais exactement ce dont j’ai envie.
Viens me sucer la chatte, mon mari refuse de le faire.

Elle me tire jusqu’au lit alors que je suis de plus en plus étonné de ce que je vois.
Femme mariée, le mari refuse de la sucer et elle est là nue sans avoir de culotte.
Bourgeoise et catin, je crois que j’ai bien fait de la suivre.
Je suis aux anges quand les cuisses écartées, je plonge dans sa vulve qui dégouline de cyprine…

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